vendredi 28 août 2009

Hôtel restaurant Belvedere, au calme sur une île…

Isola superiore dei pescatori, via di Mezzo, I-28838 Stresa (VB) – Tél. : 0323 32292

Au cours d’un petit week-end dans la région du lac Majeur en Italie, je me suis rendu à l’hôtel Belvedere sur l’isola superiore dei pescatori, une des îles Borromées
.



C’est un petit hôtel tranquille (8 chambres), ça n’est pas « grand luxe » mais vous viendrez ici pour profiter du calme de l’île le soir, quand les touristes repartent. En effet, les îles Borromées sont assez prisées l’été mais une fois le dernier bateau passé, elles se vident.

L’isola superiore dei pescatori est minuscule, il n’y a que 2 hôtels et quelques maisons de pêcheurs, on en fait le tour en seulement 10 minutes.

La vue sur le lac et les montagnes qui l’entourent est magnifique.




Le restaurant de l’hôtel, à 3 mètres de l’eau, possède une grande terrasse. Il propose des spécialités de poisson avec un effort de créativité, comme les raviolis de brochet à la lavande.



Le service est agréable, le patron parle français et s’inquiète régulièrement de savoir si tout va bien pour vous.








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jeudi 27 août 2009

Le V-A, cuisine française traditionnelle

37, avenue Claude Vellefaux – Paris 10 – Tél. : 01 42 45 07 92 – Métro : Colonel Fabien – Fermé le dimanche

Le midi, le V-A propose un menu « Entrée + plat » à 12,50 € ou « Entrée + plat + dessert » à 15 €. Sur l’ardoise, vous trouverez environ 5 entrées assez classiques : salade de gésiers, crème d’avocats et miettes de crabe, tomate mozzarella, … Idem côté plats : brochettes de poulet au curry, brochettes d’agneau, pièce du boucher sauce poivre, brochettes de poissons…


On retiendra que les produits sont frais et bien cuisinés et que la viande est tendre (je vous conseille l'agneau)... pour le quartier c’est déjà bien ! En été, vous pourrez profiter de la terrasse qui donne sur une rue pavée et piétonne.



Le service et le cadre sont agréables.

Couscous le jeudi et vendredi entre 10,50 et 14 €. Le meilleur couscous du quartier ! Viande extra fraîche !

mercredi 26 août 2009

Pizza « rustico » diavola e rucolla


Pizza avant la cuisson
Pourquoi « rustico » ? Au risque de faire hurler les puristes, j’ai testé une pâte à pizza à base de semoule de blé dur… On obtient alors une pâte rustique : assez croquante, consistante et très légèrement granuleuse.

L’ingrédient de base pour cette garniture est la Spianata Piccante, saucisse aplatie aromatisée au poivre et au piment originaire de la région de Naples. Je l’ai ramenée d’Italie mais on en trouve dans les épiceries italiennes en France.

Prévoyez tout de même 2 heures, le temps que la pâte repose et que la sauce tomate mijote.

Pour la pâte (3-4 personnes, une plaque de four)
375 g de semoule de blé dur (la plus fine possible)
15 g de levure de boulanger
20 cl d’au tièdeHuile d’olive
1 cuillère à café de sel

Pour la sauce tomate
2 oignons roses
2 boîtes de tomates concassées
Sel, poivre, huile d’olive
Vinaigre balsamique

Pour la garniture
1 belle boule de Mozzarella di Bufala
6 tranches de Spianata Piccante
Quelques beaux copeaux de Parmesan
150 g de roquette

Préparation de la pâte

Sur un plan de travail, déposez la semoule mélangée au sel et formez un puit. Diluez la levure dans l’eau tiède et versez là dans le puit.

Malaxez la pâte pendant 10 minutes en l’étirant pour la rendre élastique. En fin de malaxage, vous pouvez y adjoindre un peu d’huile d’olive. Formez une boule.

Déposez la pâte dans un saladier huilé et avec un couteau, dessinez une croix assez profonde sur la boule. Recouvrez le saladier d’un linge propre et laissez monter la pâte environ 2 heures à température ambiante. Elle doit doubler de volume.

Au bout de 2 heures, prenez votre plaque, versez de l’huile d’olive au centre, déposez la pâte, reversez un peu d’huile d’olive et commencer à l’étaler sur la plaque du bout des doigts. La pâte doit recouvrir l’ensemble de la plaque. Formez des bourrelets sur les bords.

Préparation de la sauce tomate

Pendant que la pâte repose, préparez votre sauce. Dans une poêle, versez 3 cuillères à soupe d’huile d’olive et faîtes fondre les oignons émincés. Quand ils sont bien fondus, ajoutez les tomates concassées, du sel, du poivre et 1 cuillère à soupe de vinaigre balsamique.

Laissez votre sauce réduire à feu très doux pendant 1h30 en remuant de temps en temps.

Préchauffez le four sur le thermostat maximum et si possible en position « cuisson par le bas ».

Confection de la pizza

Étalez la sauce tomate sur la pâte, pas trop pour ne pas que ça déborde lors de la cuisson. Disposez des belles tranches de mozzarella, la spianata, le parmesan.
Enfournez la pizza sur sa plaque quelques minutes directement sur le fond du four. Regardez cuire, ça va très vite : quelques minutes suffisent !

Au moment de servir, ajoutez une poignée de roquette sur les parts de pizza.

lundi 24 août 2009

La Villa Crespi, inoubliable

Via G. Fava, 18 - I - 28016 - Orta S. Giulio, Lago d'Orta - Italia - Tél. : +39 0322 911 902

Il y a quelques jours, lors d’un court séjour dans la belle région du Piémont en Italie du Nord, j’ai eu la chance de découvrir la Villa Crespi, à Orta San Giulio. Perchée sur les hauteurs de cette presqu’île, la Villa Crespi domine le lago d’Orta, un des plus petits lacs de la région mais certainement un des plus jolis.



Cette belle bâtisse d’architecture orientale fût construite par un industriel du coton qui, fasciné par ses voyages à Bagdad, voulait recréer le palais d’un émir pour ses appartements.

Aujourd’hui, elle abrite un des meilleurs restaurants d’Italie, récompensé par deux étoiles au guide Michelin.

La cuisine du chef Antonino Cannavacciuolo allie aux produits locaux une créativité débordante qui nous emmène de surprise en surprise.

Ne se sentant pas capables d’affronter le menu du chef en dix plats, nous nous sommes contentés du menu Carpe Diem : des amuses-bouches, 2 pré-entrées, 2 entrées, 1 plat, 1 pré-dessert, un dessert et une farandole de mignardises !

Dans le cadre raffiné de la véranda, l’accueil est soigné et le maître d’hôtel s’exprime dans un français impeccable.

Comme le veut la tradition italienne, après les amuses-bouches, nous commençons par les antipasti, présentés comme « Chef Cannavacciuolo vous souhaite Bon Voyage ». Un mini tartare de bœuf, nature, surmonté d’un confit d’oignon rose et accompagné de deux petites gouttes de sauce au citron. La viande était délicieusement fondante et le fait qu’elle ne soit pas assaisonnée nous a permis d’en savourer toute la saveur. Ensuite, des mini calamars, accompagnés de toutes petites croquettes de poisson et de tomates cerise confites.

Passons aux choses sérieuses, le primi piatti : Salade frisée liquide, stracciatella de bufflonne, copeaux de pain et anchois. On nous conseille alors de mélanger le tout afin que le doux, l’amer et le croquants se rencontrent : un pur délice, très frais.

Nous poursuivons par le secondi piatti : Linguine de Gragnano aux petits calamars sauce au pain de Fobello. Certainement les meilleures pâtes de ma vie ! On nous explique que la sauce est un mix du jus de cuisson des calamars (ail et basilic) et de pain Fobello (pain noir), goût et texture incoyables. Les linguine sont al dente, mais vraiment al dente : durs à l’intérieur, fondantes à l’extérieur. Ca aurait dommage de passer un repas en Italie sans pâtes !

Nous poursuivons avec la viande, il carni : Suprème de canard, sauce aux cerises, échalotes cuisinés au sel et farcies au foie gras de canard. Cuisson parfaite pour une viande extra tendre accompagnée de quelques cerises tièdes bien juteuses. L’échalote au foie gras était légèrement un peu en dessous du reste, il faut l’avouer.

Le serveur vient nous proposer du fromage : 2 desserte à roulettes présentant pas moins de 40 appellations françaises et italiennes… Cependant, nous déclinons, craignant de caler sur la suite.

Dolci ! Le pré-dessert était une improbable tomate mozzarella glacée : coulis de tomates cerise, granité de basilic et glace à la mozzarella di bufala. Encore ! Encore ! A pleurer…

Nous terminons par un dernier dessert : une glace au yaourt avec une déclinaison de fraises (soupe, fraîches et en gelée au vin), excellent mais un peu fade par rapport à la tomate mozza dont le souvenir nous laissait encore sans voix !
Pour accompagner le café, une multitude de mignardises et chocolats viennent nous achever après ce repas magique, mais impossible de goûter à tout.

Pour récupérer une petite promenade sur les rives paisibles du lago d’Orta s’imposa.


samedi 22 août 2009

Crème de salade grecque




J’utilise les ingrédients d’une salade grecque pour obtenir un genre de crème à déguster à la petite cuillère ou à étaler sur des bruschetta.

2 tomates
1 demi poivron
1 quart d’oignon rose
La moitié d’un bloc de féta
Quelques olives
Concentré de tomate
Sel et poivre
Huile d’olive
2 tranches de pain de mie
20 feuilles de basilic

Taillez en très fine brunoise (2 mm) le poivron, les olives et l’oignon.

Mixez les tomates (sans la peau et sans les pépins) avec une cuillère à soupe d’huile d’olive, la feta, le basilic et la mie de pain.

Ajoutez les légumes en brunoise et une cuillère à soupe de contré de tomate. Rectifiez avec du sel et du poivre.
Servez dans des cuillères ou sur des bruschetta.

vendredi 21 août 2009

Penne comme un risotto, asperges, fèves et roquette




C’était la première fois que je cuisais des pâtes ainsi et franchement, c’est excellent. Cette recette est adaptée d’une recette du livre Tentations de Monsieur Philippe Conticini (merci !).

Pour 4 personnes
350 g de penne
8 cuillères à soupe d’huile d’olive
16 asperges vertes
1 L de bouillon de volaille
1 oignon rose
200 g de fèves extrafines surgelées
4 poignées de roquette
Le jus d’un citron
12 beaux copeaux de parmesan
Poivre du moulin

Faîtes cuire les fèves 5 minutes dans l’eau bouillante, puis égouttez-les et rafraichissez-les sous un filet d’eau froide.

Coupez les pointes d’asperges (gardez 5 cm).

Dans un sauteuse, faîtes revenir dans l’huile d’olive les penne, les pointes d’asperge, l’oignon émincé pendant 3 minutes.

Versez 2 louches de bouillon et la moitié du jus de citron et cuisez comme un risotto, en mélangeant régulièrement et en ajoutant du bouillon jusqu’à ce que les penne soient cuite al dente.

Enfin, ajoutez les fèves, le reste du jus de citron et mélangez quelques instants.

Dressez les assiettes avec les penne, des feuilles de roquette, des copeaux de parmesan et du poivre moulu.



jeudi 20 août 2009

Tarte sablée au chocolat noir




J’adore cette tarte, on est vraiment proche d’un travail de pâtissier… Pour le chocolat, j’utilise du un mélange 85 % et 65 %, mais si ça vous semble trop fort vous pouvez en choisir un autre. Cette recette est issue du livre Tentations de Monsieur Philippe Conticini (merci !).

Pour une tarte (22 cm) ou 3 tartelettes (15 cm)

La pâte sablée
125 g de farine
60 g de beurre pommade
50 g de sucre glace
1 jaune d’œuf
1 cuillère à soupe de lait demi-écrémé
1 pincée de sel

La crème au chocolat

200 g de chocolat noir
15 cl de lait demi-écrémé
15 cl de crème liquide
1 œuf

Préparation de la pâte
Sortez tous les ingrédients afin qu’ils aient la même température. Mélangez la farine et le beurre. Dans un grand bol, mélangez le sucre, le jaune d’œuf, le lait et une pincée de sel. Puis incorporez-y le mélange farine et beurre. Pétrissez le tout pour obtenir une pâte bien homogène. A l’aide d’un rouleau, étalez la pâte en gardant une épaisseur d’environ 0,5 cm. Garnissez votre tourtière ou vos tourtières, filmez et mettez au réfrigérateur.

Cuisson de la pâte
Le lendemain ou quelques heures après. Allumez votre four sur 200°C. Piquez la pâte et précuire le fond à blanc 10 minutes quand le four est chaud. Sortez la tarte et baissez votre four sur 140°C.

La crème au chocolat
Faîtes fondre le chocolat au bain marie. En même temps portez à ébullition le lait et la crème liquide, puis incorporez au chocolat fondu. Fouettez, ajoutez l’œuf entier et fouettez à nouveau. Garnissez le fond de tarte à ras bord et enfournez 15 à 20 minutes. La crème ne doit pas bouillir et le dessus doit être lisse et brillant.


Servez froid avec une chantilly au caramel au beurre salé qui permet d’adoucir la puissance du chocolat noir.

mercredi 19 août 2009

Chantilly au caramel au beurre salé




Pour accompagner un gâteau aux pommes ou au chocolat, c’est top.

Dans une casserole, faîte chauffer 30 cl de crème liquide avec 3 cuillères à café de crème de caramel au beurre salé (ou des caramels mous au beurre salé).

Une fois que le caramel est fondu, versez la préparation dans le siphon et mettez au frais au moins 4 heures.

Gazez le siphon et secouez-le.

Servez immédiatement.



mardi 18 août 2009

Croquette de sardine au pain d'épice


Voici un petit apéro bien sympa et original. Cette recette est adaptée d’une recette de Sonia Ezgulian trouvée dans le livre Tentations de Monsieur Philippe Conticini (merci !).

Pour une vingtaine de croquettes
3 boîtes de filets de sardine à l’huile d’olive
1 échalote finement ciselée
2 cuillères à soupe d’estragon ciselé
100 g de pain d’épice rassi
Poivre
Demi-citron vert

Préchauffez le four à 180°C.

Ecrasez à la fourchette les sardines, l’échalote, l’estragon, le jus de citron. Rectifiez avec du poivre.

Façonnez des boulettes de la taille d’une noix.

Mixez le pain d’épice pour obtenir une chapelure fine.

Roulez les boulettes dans le pain d’épices et enfournez 9 minutes.
Servez tiède avec du citron, une sauce chien (créole) ou juste comme ça !

lundi 17 août 2009

Le Mega Tamago débarque chez McDo au Japon !

Merci à Buzzman TV pour cette news ! A la louche, ce burger gargantuesque, composé de 3 steaks, du tofu, du bacon, du fromage, du pain et plein de sauce doit approcher les 1000 Kcal à lui seul.

Une question reste en suspens : comment fait-on pour le manger ?!

Amis japonais : bon courage !

McDo au Japon : cliquez ici.

dimanche 16 août 2009

Le Point Ephémère

200, quai de Valmy - 75010 Paris – Tél. : 01 40 34 04 06


Juste au bord du canal Saint-Martin, Le Point Ephémère est vraiment un des meilleurs spots du quartier. Cet espace concept réuni en un seul lieu : salle de concert, expositions artistiques, bar, restaurant, …

Côté restaurant, ce sont à la fois une super terrasse au bord de l’eau et des plats bons et saints. Le midi, vous trouverez une petite formule entrée + plat ou plat + dessert à 10,50 €, comptez 13,50 € pour la totale. Le choix est assez restreint mais c’est toujours bon.

Pour débuter, gaspacho à la tomate et aux poivrons, très rafraichissant, ou moelleux de céleri et sa gambas entière.


Pour continuer, le plat du jour (pavé de colin aux légumes ce midi), tarte salée et salade ou suprême de poulet mariné au citron vert et sa poêlée de légumes. Les légumes sont de saison, frais pas cuits avec un litre d’huile, ça change !


Pour finir : crème caramel ou tarte au pomme, classique mais bon quand c’est maison).

L’accueil est sympathique, décontracté, pas coincé. C’est calme (pas de passage de voiture) et la musique est bien choisie.

En somme, pour un lieu qui pourrait paraître juste « arti », on mange très bien et on repart léger.





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jeudi 13 août 2009

Mme Shawn – Thaï Cuisine

3 adresses : Paris 10 : 34, rue Yves Toudic et 56, rue de Lancry – Paris 16 : 28, rue Duret – Paris 16


J’ai testé celui de la rue de Lancry, à deux pas du canal Saint-Martin, ouvert depuis peu, et globalement ça m’a plu. N’étant pas expert en cuisine thaï, je ne peux pas dire si c’est « comme ça devrait être » mais c’est plutôt bon.

Le cadre est feutré et la déco soignée, ça n’est pas une petite cantine.

Il semblerait qu’il soit conseillé d’y aller le midi car les prix augmentent fortement le soir. 4 formules : Jr Shawn à 12€ (boisson, plat, accompagnement), Mr Shawn à 14€ (boisson, plat, accompagnement, dessert), Mlle Shawn à 15€ (boisson, entrée, plat, accompagnement) et Mme Shawn à 16€ (boisson, entrée, plat, accompagnement, dessert).




Côté entrées, on trouve des soupes, des salades et des beignets. Les plats sont assez variés, à base de viande ou de fruits de mers et proposés avec des accompagnements : pâtes de riz sautées, légumes au wok, riz parfumé ou gluant.



J’ai opté pour un Mlle Shawn avec un Tod man Kung (4 beignets de crevettes aux herbes thaï, assez réussi bien que la crevette ne se sente pas trop), suivi d’un Kai paneng (poulet au curry rouge à la crème de coco, bien servi, assez parfumé, un peu relevé, peut-être pas assez…) accompagné d’un Pad pak roam (mélange de légumes sautés au wok, frais et croquants, très bons).





C’est sûr qu’on ne voyage pas, on reste à Paris. Détail rigolo : la carte est très bien traduite (ex : « Délicieux beignets… ») et dans les desserts on trouve un tiramisu, ce qui contribue à l’impression de cuisine thaï « européanisée ».




Ma reco est donc d’y aller mais plutôt le midi pour rester dans les 15€.




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Lipdub beurré chez Bordier !

Connaissez-vous le beurre Bordier ? Jean-Yves Bordier a créé le désormais célèbre Beurre Bordier. Ses beurres sont exportés dans le monde entier et on les retrouve sur les plus grandes tables. Si vous passez par Saint-Malo, n'oubliez pas de faire un tour à La Maison du Beurre ou à La Fromagée pour découvrir les beurres Bordier : doux, demi-sel, salé, au sel fumé, aux algues, au piment d'Espelette... On peut aussi les trouver partout en France chez les meilleurs crémiers.

Pour se faire connaître un peu plus, cette société bretonne à produit un lipdub : clip vidéo réalisé en plan-séquence et en playback par les collaborateurs d'une entreprise...








mercredi 12 août 2009

La Sardine – Belle terrasse place Sainte-Marthe

32, rue Sainte Marthe - 75010 Paris - 01 42 49 19 46

La Sardine est un petit restaurant bien sympa qui mixe tapas et cuisine française. Dès que le soleil pointe le bout de son nez, la terrasse tranquille installée sur la place Sainte-Marthe se remplit des habitués du quartier.

Le midi vous pourrez profiter du menu tapas + plat ou plat + dessert à 11 €. Vous trouverez donc un vaste choix de tapas (courgette et parmesan, rillettes de thon, caviar d’aubergine, carottes au cumin, fromage, charcuterie) à partager entre amis ainsi que 4-5 plats du jour (dont des salades).

C’est plutôt toujours assez bon et parfois un peu longuet.














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La blogothèque de Gourmandenise.fr


Voici un site intéressant : La Blogothèque de Gourmandenise.fr . C'est précisément une blogothèque, ou agrégateur de blog, qui recense plus de 1000 blogs culinaires. et qui remonte chaque nouvelle recette Vous pouvez demander à ce que votre blog soit référencé, Denise est très sympa.

Higuma - Cantine japonaise traditionnelle

32 bis, rue Sainte-Anne – 75001 Paris – Métro : Pyramides / Palais Royal / Opéra – Tél : 01 47 03 38 52 – Ouvert du lundi au dimanche de 11h30 à 22h.



Enfin un vrai resto japonais ! Rien à voir avec ces makis et ces brochettes à des prix idiots… Au cœur du « quartier japonais », Higuma est un incontournable, il y a souvent la queue ! Ce restaurant qui ne paie pas de mine (pas de déco) nous fait découvrir une autre facette de la cuisine japonaise.


Je vous recommande de manger au bar juste devant la cuisine, les cuisiniers s’activent derrière d’immenses woks pour préparer les lamen (bols de nouilles avec légumes et viandes), les tendon (bols de riz avec viande ou beignet), les soupes, … Ca envoie ! Ca va très vite, ça flambe, ça saute, c’est impressionnant. A tester absolument : les Guiosa (raviolis vapeur grillés) ! Il n’y en a qu’une sorte mais ils sont délicieux. Le service est rustique mais avec le sourire.


Les plats sont copieux, remplis au max, et commencent à 6,50 €. Comptez 8,50 € pour un plat avec du calamar ou des crevettes. Il y a aussi des menus (environ 10 €) avec, par exemple, 5 raviolis et un Yakisoba (nouilles sautées avec légumes, porc et calamars).





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Confiture quetsche vanille

J’ai cueilli quelques kilos de quetsches ce week-end à la campagne… Je me suis donc lancé dans la confiture ! Cette recette est basé sur un 50/50 fruit sucre mais on peut diminuer la proportion de sucre pour une confiture… moins sucrée !

Pour 1 kg de fruits dénoyautés
1 kg de sucre
25 cl d’eau
1 belle gousse de vanille

Lavez, coupez en deux et dénoyautez les quetsches.

Dans une marmite, ou une bassine à confiture si vous en avez une, préparez le sirop de sucre : faîtes chauffer à feu très doux le sucre et l’eau. Ouvrez la gousse de vanille, grattez les graines et ajoutez-les au sirop avec la gousse.

Stérilisez vos pots en les ébouillantant.

Quand le sirop est au petit perlé (111°C, formation de petites perles rondes à la surface), jetez les fruits.

A la première ébullition, retirez et égouttez les fruits. Refaire bouillir le sirop jusqu’à ce qu’il soit à nouveau au petit perlé.

Remettez les fruits et à la première ébullition, arrêtez la cuisson et mettez en pot.

mardi 11 août 2009

Crumble quetsche vanille

C’est la saison des prunes, quetsches et autres mirabelles ! Bien mûres et juteuses, elles sont parfaites pour un bon crumble.

Pour 8 personnes
500 g de quetsches (dénoyautées)
160 g de beurre mou
100 g de farine blanche
100 g de farine semi complète
160 g de sucre
2 cuillères à soupe de cassonade
1 belle gousse de vanille
1 petite poignée de pignons
1 demi-citron vert.

Allumez votre four à 210°C.

Lavez, coupez en deux et dénoyautez les quetsches. Répartissez-les dans un plat à gratin. Saupoudrez avec la cassonade. Ouvrez la gousse de vanille, récupérez les graines avec un petit couteau et mélangez-les au jus de citron vert. Faîtes couler ce petit jus sur vos quetsches. Déposez la gousse au milieu des quetsches.

Dans un grand bol, travaillez avec les doigts le beurre, le sucre et les deux farines jusqu’à obtention d’une pâte sableuse. Répartissez cette pâte sur vos fruits et enfournez pendant 45 minutes environ.

Les fruits vont rendre du jus puis confire, le crumble va légèrement brunir.

Servez tiède.


lundi 10 août 2009

Tai Yien

5, rue de Belleville – 75019 Paris – Tél. : 01 42 41 44 16

Le quartier de Belleville et la rue de Belleville en particulier regroupent un grand nombre de restaurants asiatiques, essentiellement chinois.

Au Tai Yien, ils ont l’air assez forts en viandes « laquées ». Porcs, canards, cailles, et autres bébêtes vous accueillent à l’entrée.

Ce restaurant, qui peut acceuillir environ 50 couverts, propose un (très) large choix de recettes chinoises… Le plus difficile est de choisir ! Je vous invite à vous intéresser de plus près au paragraphe « K » qui rassemble les spécialités de la maison.


Perso, j’ai commencé par un assortiment de beignets variés (7,60 €, à partager à 2 car c’est assez copieux).


Ensuite, j’ai testé le bœuf aigre douce sur plaque chauffante : des morceaux de bœuf assez tendre avec une sauce aigre douce plutôt réussie avec des oignons et des tranches de tomates fraiches servis sur une plaque en fonte surchauffée (9,70 €) !



Le service est rapide, les assiettes sont copieuses, c’est bien fait et le cadre est un peu au dessus de la moyenne (pour le quartier).





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jeudi 6 août 2009

Crème anglaise

Dans la plupart des recettes actuelles, la crème anglaise est parfumée à la vanille, or dans les livres de cuisine plus anciens, on trouve des recettes de crème anglaise sans vanille. Honnêtement, c’est vrai que c’est meilleur avec de la vanille car cette dernière prend le dessus sur le goût du mélange lait œuf…


Pour 1 litre de crème anglaise
1 L de lait
6 jaunes d’œuf
100 g de sucre
1 belle gousse de vanille Bourbon

Faîtes bouillir le lait avec le sucre et la gousse de vanille ouverte de grattée.

Dans un bol, fouettez très fort les jaunes d’œufs puis ajoutez un peu de lait chaud et fouettez à nouveau.

Reverser cette préparation dans la casserole de lait et cuisez à feu doux ou au bain marie en remuant sans cesse.

La crème va épaissir progressivement, elle ne doit surtout pas bouillir. Pour vérifier la cuisson, nappez une cuillère en bois de crème et passez votre doigt. La crème est cuite quand la trace reste visible.

Si elle bout et forme des grumeaux, vous pourrez la rattraper en la versant dans une bouteille et en secouant vivement pendant quelques minutes.


mercredi 5 août 2009

Muffins moelleux aux pépites de chocolat

Voici une recette inratable pour des muffins aux pépites de chocolat. Ils seront bien moelleux et savoureux.


Pour 12 à 15 muffins
320 g de farine
50 g de sucre
3 cuillères à café de levure chimique
1 cuillère à café de sel
150 g de chocolat à pâtisser
325 ml de crème fraîche
175 ml de lait
50 ml d’huile de tournesol
1 œuf
1 cuillère à café d’extrait de vanille

Allumez votre four en mode chaleur tournante à 200°C.

Mélangez la farine, le sucre, la levure et le sel, puis incorporez le jaune d’œuf.

Montez le blanc en neige bien ferme. A l’aide d’un couteau à lame large, coupez le chocolat en grosses pépites.

Incorporez à votre préparation la crème fraîche, le lait, l’huile, le blanc en neige puis les pépites de chocolat. Il n’est pas nécessaire de trop travailler votre préparation.

Remplissez des moules à muffins et enfournez pendant 20 à 25 minutes. Vérifiez la cuisson avec une lame de couteau, quand elle ressort sèche, c’est prêt !


Merci à Marc Grossman pour cette recette trouvée dans son livre « Muffins originaux et authentiques » aux éditions Marabout.